Traversée et premier pas en Islande.
Nous venons d’embarquer sur le bateaux en direction de l’Islande. Un départ tant attendu depuis que le covid perturbe nos projets de voyage.
Malgré nos craintes il n’y a pas eu de problème de circulation liés au covid à l’entrée des pays traversés. Aucun contrôle en Belgique et en Allemagne, un contrôle de la vaccination à l’entrée du Danemark et à l’embarquement et un petit test buccal covid .
Nous savions que l’Islande était ouverte aux personnes vaccinées depuis avril et le Danemark avait annoncé de nouvelles règles avec une éventuelle ouverture aux personnes vaccinées le 1 mai. Le 2 mai banco, l’annonce est confirmée. Nous aurons nos 2 injections vers le 25 mai, nous pouvons prendre les billets.
1500 km nous séparent de l’Islande depuis le port danois, 48 h de traversée avec une escale aux îles Féroé. Nous longeons la côte sud Norvégienne, nous passons au raz des îles des Shetland au nord de l’Ecosse puis route direct NO.
La mer est bien formée comme en témoigne le cargos qui tient le même cap que nous, mais le beau temps est encore au rendez-vous…

La nuit suivante est mouvementée, le bateau tape sur les vagues, la marche en ligne droite est impossible heureusement que les murs sont là, la nuit a été courte.

Entrée dans le fjord de SEYDISFJORDUR. Surprise le mauvais temps de la veille qui nous a apporté la tempête, a couvert les sommets d’une couche de neige fraîche. Le paysage est superbe.

Le débarquement se fait en deux temps trois mouvement car le bateau est en grande partie vide.
Dès que nous avons pris pied sur le sol Islandais, après le ravitaillement de rigueur à EGILSSTADIR, puisque l’entrée de produit frais périssables est interdite en Islande, nous prenons la direction du nord pour voir le soleil de minuit et profiter au plus tôt des sites d’observation d’oiseaux des fjords et des côtes nord.
La route 93 en direction de EGILSSTADIR passe par un col à 600 m entièrement enneigé. Nous crénions pour la suite. Comme nous l’avons prévu, la route empierrée 917 qui longe la Joka puis passe aussi à 600 m en se rapprochant des falaises n’est pas dégagée, la couche de neige est importante à certains endroits, de plus nous sommes dans le brouillard, nous décidons de rebrousser chemin.
Bivouac à l‘écart de la piste dans la vallée de la rivière Jokla qui est une plaine humide propice à la présence de nombreux oiseaux. Dont les plus emblématique sont le Pluvier doré, la Bécassine des marais, les 2 Courlis, le Cygne chanteur et le superbe Plongeon catmarin.
Nous cherchons en vain les oiseaux ….. les effectifs sont au plus bas . Sont-ils en Island ? qui les a vu ailleurs ? plus au sud ou plus au nord ?
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Bonjour Chantal
Constateriez vous une baisse des effectifs au Teich ?
Ici rien de semblable
Rien que ce matin une falaise nichoir à fulmar accessible, des parades d’eider.
+ pluvier, etc, pour ceux-là nous avons des photos .
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Bonjour Alexandrine et Thierry,
Bien content que vous soyez (enfin) arrivés! Les premières images donnent envie de vous rejoindre. Enorme contraste avec le décor et la période de l’année, mais ça a son charme. Vous venez d’arriver, donc les oiseaux vont bien venir vous rendre visite. De belles images aériennes avec ces couleurs très marquées et très fortes. J’adore.
Très bonne continuation dans votre périple, et à bientôt pour la suite de vos aventures….
Francis.
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3ème et dernière tentative pour ce commentaire . Il faut 1 avoir un compte et 2 se connecter
Excellente idée que ce blog. Quelle sérénité quand je pense que nous croulons sous la châleur et sommes soumis aussi à des orages violents. C’est magnifique 😻 pas de panique les oiseaux vont bientôt arriver on a hâte de voir la suite du périple bon voyage à tous les deux cette fois ci si le message ne part pas j’arrête 😉
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